Jesuiscourtois.com : La régie de police du lac des deux-montagnes lance une campagne de sensibilisation au partage de la route
JESUISCOURTOIS.COM : une première campagne de sensibilisation au partage de la route et encourageant la courtoisie entre automobilistes, cyclistes et piétons est lancée cette semaine sur l’ensemble du territoire couvert par la Régie de police du lac des Deux-Montagnes (RPLDM).
Conçue et déployée en collaboration avec les villes de Deux-Montagnes et de Sainte-Marthe-sur-le-Lac, ainsi qu’avec les municipalités de Saint-Joseph-du-Lac et de Pointe-Calumet, cette vaste campagne présente le coloré personnage Joe Latraverse. Par le biais de capsules vidéo le démontrant à la fois piéton, automobiliste et cycliste, Joe prodigue à la population ses trucs et conseils pour assurer la courtoisie entre tous les usagers de la route.
Par cette campagne, la Régie de police du lac de Deux-Montagnes vise principalement à :
- sensibiliser les automobilistes à l’obligation de céder le passage aux piétons aux endroits dûment identifiés;
- habituer les piétons à traverser la rue aux intersections ou aux passages piétonniers;
- instruire les cyclistes quant aux pratiques à adopter, tant sur la route qu’aux passages pour piétons;
- sécuriser toutes les traverses piétonnières de son territoire;
- diminuer le nombre d’accidents de la route à survenir sur nos routes.
« La Régie de police est fière de lancer cette première campagne de sensibilisation sur un sujet qui lui tient bien à cœur, soit la sécurité de la population que nous desservons. Je tiens à saluer l’exceptionnelle collaboration des élus municipaux et des employés impliqués dans le processus de planification et de déploiement de cette campagne d’envergure. Enfin, soulignons la participation financière majeure de la Société de l’Assurance automobile du Québec, qui a rendu possible cette campagne »,a déclaré Patrick Denis, directeur de la Régie de police du lac des Deux-Montagnes.
La Régie de police du lac des Deux-Montagnes, les villes de Sainte-Marthe-sur-le-Lac et de Deux-Montagnes et les municipalités de Pointe-Calumet et Saint-Joseph-du-Lac invitent l’ensemble de la population est invitée à se rendre sur le site Jesuiscourtois.com pour faire la connaissance du sympathique Joe!
À propos de la Régie de police du Lac des Deux-Montagnes
La Régie de police du Lac des Deux-Montagnes dessert une population de près de 50 000 habitants, répartie dans les villes de Deux-Montagnes et de Sainte-Marthe-sur-le-Lac, ainsi que dans les municipalités de Saint-Joseph-du-Lac et de Pointe-Calumet. Ce territoire bordé par le lac des Deux Montagnes au sud compte de nombreuses pistes cyclables, parcs, marinas et descentes de bateaux. Deux gares de la ligne de train de banlieue Deux-Montagnes mènent au centre-ville de Montréal. Les policiers patrouillent un territoire principalement résidentiel comprenant 12 écoles primaires, 3 écoles secondaires, 2 écoles destinées aux adultes et 1 école spécialisée.
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Pour information :
Régie de police du Lac des Deux-Montagnes
615, 20e Avenue
Deux-Montagnes, Qc J7R 6B2
Téléphone : 450 473-4686
Télécopieur : 450 473-3189
Message de MADAME la maire de Pointe-Calumet au premier ministre, M. Legault, ainsi qu’aux huit ministres du comité de cartographie des zones inondables de 2019
Pointe-Calumet, le 5 juin 2019 - Dans un avenir très rapproché, des milliers de citoyens de nos villes et municipalités (je parle ici de la MRC de Deux-Montagnes) seront les premiers à être affectés par la décision du gouvernement provincial, en lien avec la nouvelle cartographie des zones inondables.
Nos villes et municipalités ont été endiguées à la fin des années 70 pour permettre aux gens de s’y s’installer avec une tranquillité d’esprit, et ce, par le gouvernement provincial et fédéral. Les zones inondables de l’époque ont alors été effacées des cartographies, grâce aux nouvelles infrastructures de protection. Nos villes et municipalités, qui étaient reconnues par tous comme un lieu de villégiature paradisiaque, sont devenues pour les citoyens venus s’y installer le plus grand investissement d'une vie, soit l’achat d’une demeure. Les territoires étaient jugés et décrits par tous les paliers gouvernementaux comme étant protégés, sécuritaires et abolis de toute zone inondable.
Mais voilà que cette année, nos élus provinciaux décident de revoir cette cartographie d’identification des zones à risque d’inondation. Qui plus est, le tout est effectué de manière cavalière, sans processus de consultation et d’évaluation des impacts que cela pourrait créer.
Il semble facile de braquer la faute vers les citoyens ou les élus municipaux, avec des déclarations telles que « vous le saviez, il y a un prix à payer pour s’établir aux abords d’un cours d’eau ». Tout a été mentionné par l’opinion publique et chaque citoyen résidant dans l’un de ces secteurs en est conscient. Mais il ne faut pas négliger que les constructions érigées dans nos villes ou municipalités étaient considérées comme non inondables. Chacun d’entre nous possède un certificat de localisation soumis aux instances administratives municipales, approuvé par des normes gouvernementales jugées véridiques. Maintenant, des experts de la Communauté métropolitaine de Montréal, mandatés par le gouvernement provincial, en sont à rectifier lesdites incohérences, modifiant ces zones jugées non inondables et sécuritaires durant plus de quarante ans.
Dans cette première ébauche, plus de 10 000 citoyens de notre MRC ayant fait confiance à nos dirigeants retrouveraient leur investissement dévalué de façon outrageante. Les primes d’assurances octroyées à des prix exorbitants, l’incapacité de revente immobilière ainsi que la perte des droits fondamentaux afin de modifier ses propres biens sont quelques-unes des conséquences possibles et inacceptables d’une telle démarche.
À cet égard, l’ensemble des maires et mairesses de la MRC de Deux-Montagnes, a émis une résolution afin de demander à la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM), ainsi qu’au gouvernement du Québec, de clarifier leurs intentions en lien avec les zones à risque d’inondation. Cette résolution a été transmise à la CMM ainsi qu’aux différents ministres impliqués.
La résolution de la MRC de Deux-Montagnes demande, entre autres, aux instances gouvernementales, de se pencher sur les enjeux suivants :
- Adopter une nouvelle politique sur la gestion des risques dans les zones inondables visant à accompagner toute refonte de la cartographie de ces zones, afin de ne pas entraver la valeur du patrimoine immobilier et les possibilités de mise en valeur.
- Autoriser et financer la mise à niveau des mesures de protection adéquates et pérennes au plus tard à l’automne 2019. La digue végétale à l’est de notre Municipalité fait partie de cette demande de prise d’action rapide, afin d’en faire une infrastructure totalement sécuritaire.
- Que les municipalités et la MRC de Deux-Montagnes soient consultées avant l’adoption de toutes nouvelles dispositions législatives et réglementaires.
La MRC de Deux-Montagnes se tient unanimement face à ces enjeux. Soyez assurés que nous suivrons le dossier de très près et que nous ne laisserons pas les choses se dérouler sans se prononcer haut et fort sur les éléments qui pourraient avoir un impact pour notre Municipalité.
Si vous désirez consulter la résolution dans son ensemble, cliquez sur le lien ci-dessous :
En vous remerciant de votre confiance et de votre soutien,
Sonia Fontaine,
Maire de Pointe-Calumet
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Source :
Municipalité de Pointe-Calumet
300, avenue Basile-Routhier
Pointe-Calumet, Qc J0N 1G2
Téléphone : 450 473-5930
Fax : 450 473-6571
info@pointe-calumet.ca
OKA ET SAINT-JOSEPH-DU-LAC : Conclusion d’une entente relative à l’installation et au maintien d’un appareil de mesure en continu du chlore résiduel dans le bâtiment technique des étangs aérés de la Municipalité d’Oka
Oka, le 14 novembre 2018 – Le 1er octobre dernier, les maires des municipalités de Saint-Joseph-du-Lac et d’Oka ont officialisé une entente concernant la mise en place et le maintien, par Saint-Joseph-du-Lac, d’un appareil de mesure en continu du chlore résiduel dans le bâtiment technique des étangs aérés, opéré par la Municipalité d’Oka. Cette entente a été négociée dans le cadre de mesures, mises en place par Saint-Joseph-du-Lac, visant à réduire la teneur en manganèse en suspension dans l’eau provenant de sa station d’eau potable, située à proximité du bâtiment des étangs aérés d’Oka. Rappelons que le réseau joséphois dessert également la municipalité de Pointe-Calumet.
Ce partenariat s’avère bénéfique pour les deux municipalités. D’une part, la Municipalité de Saint-Joseph-du-Lac aura accès à un endroit pour effectuer ses analyses. D’autre part, l’installation de cet appareil permettra de desservir en eau potable le bâtiment des étangs aérés d’Oka, présentement alimenté par un puits.
« La proximité du bâtiment des étangs aérés d’Oka à notre station d’eau potable en fait l’endroit tout désigné pour effectuer les analyses en continu requises pour mesurer le chlore dans l’eau. Je remercie le maire Quevillon de nous donner accès à ses installations. Cela reflète l’entraide et l’esprit collaboratif régnant entre nos deux Municipalités! » mentionne le maire de Saint-Joseph-du-Lac, monsieur Benoit Proulx.
L’eau brute découlant de la station d’eau potable de Saint-Joseph-du-Lac ne nécessite aucun traitement hormis la désinfection des virus par le chlore. Or depuis les dernières années, la teneur en manganèse dans l’eau à la station d’eau potable croît de façon considérable. Au contact du chlore, le manganèse se précipite dans l’eau, altérant par le fait même l’aspect esthétique de l’eau du réseau d’aqueduc joséphois.
Afin de diminuer l’impact de cette problématique, la Municipalité de Saint-Joseph-du-Lac a adopté cet été un plan d’action visant à contrer les effets de la précipitation du manganèse dans le réseau d’aqueduc. L’une de ces avenues consisterait à déplacer le point d’analyse du chlore dans l’objectif d’optimiser le dosage tout en s’assurant de respecter les critères de désinfection et de conserver la concentration minimale requise de 0,3 mg/l de chlore résiduel dans l’eau.
« Dans un contexte où l’amélioration de la qualité des services offerts aux citoyens va de pair avec la recherche d’un équilibre budgétaire, la mise en commun d’équipements, le partage d’infrastructures et la réalisation de travaux conjoints sont des choix judicieux pour les municipalités! Voilà un bel exemple d’une collaboration intermunicipale qui favorise un partage efficace des ressources de deux communautés de proximité! », ajoute le maire d’Oka, monsieur Pascal Quevillon.
« Étant tributaire du service d’aqueduc de Saint-Joseph-du-Lac, La Municipalité de Pointe-Calumet est heureuse d’appuyer Monsieur Benoit Proulx, maire de Saint-Joseph-du-Lac, dans les interventions mises de l’avant afin d’effectuer des mesures en continu du chlore et ainsi diminuer la précipitation de manganèse dans l’eau. Nous tenons également à remercier Monsieur Pascal Quevillon, maire d’Oka, d’offrir un accès au bâtiment des étangs aérés et ainsi permettre l’installation des équipements nécessaires à la mesure du chlore. Cette collaboration entre les diverses Municipalités est fortement appréciée! » déclare Madame Sonia Fontaine, mairesse de Pointe-Calumet.
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Source :
Municipalité de Pointe-Calumet
300, avenue Basile-Routhier
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ADOPTION D’UN PLAN D’ACTION EN REGARD DE L’EAU POTABLE : Le conseil municipal de Pointe-Calumet appuie la Municipalité de Saint-Joseph-du-Lac afin de réduire de façon significative les problématiques d’eau colorée
Pointe-Calumet, le 17 juillet 2018 - Au début du mois de juillet 2018, les Municipalités de Saint-Joseph-du-Lac et de Pointe-Calumet ont connu de fortes perturbations sur le réseau d’aqueduc municipal, résultant en des épisodes répétés d’eau colorée et brune, particulièrement dans certains secteurs. L’eau demeure potable, mais son aspect esthétique laisse bien entendu à désirer.
Étant tributaire du réseau de la Municipalité de Saint-Joseph-du-Lac, le conseil municipal de Pointe-Calumet appuie l’ensemble des actions afin de trouver et de mettre en œuvre des solutions permettant de réduire de façon considérable les épisodes d’eau colorée dans les deux Municipalités, à court et à moyen terme.
CONTEXTE : Cause de l’eau colorée dans la Municipalité
Les Municipalités de Saint-Joseph-du-Lac et de Pointe-Calumet puisent leur eau potable en bordure du lac des Deux-Montagnes à l’aide de 10 puits existants. L’eau souterraine présente une qualité d’eau brute qui ne nécessite aucun traitement hormis la désinfection des virus par le chlore.
La coloration de l’eau s’explique principalement par l’augmentation du manganèse dans l’eau brute. Élément chimique naturellement présent dans l’eau brute, le manganèse se colle aux parois des conduites d’alimentation en eau potable. Au contact du chlore - utilisé aux fins de désinfection des virus - le manganèse se dissous dans l’eau, ayant pour effet de la rendre colorée ou brune, particulièrement depuis les dernières années.
OBJECTIF : Déployer un plan d’action concret afin de fournir une eau potable claire et limpide aux résidents des Municipalités de Saint-Joseph-du-Lac et de Pointe-Calumet
Compte tenu des récents épisodes de coloration de l’eau provenant du réseau d’aqueduc, le conseil municipal appuie la Municipalité de Saint-Joseph-du-Lac dans l’adoption d’un plan d’action visant à diminuer significativement, à court terme, les désagréments esthétiques causés par la précipitation de manganèse dans l’eau. À moyen terme, l’objectif serait d’éliminer, par un traitement spécifique, le manganèse à la source. Par conséquent, un plan d’action en trois volets a été adopté, décrit ci-dessous :
1- Augmenter significativement les opérations de rinçage unidirectionnel du réseau d’aqueduc. L’objectif de cette mesure est d’éliminer, au fur et à mesure, la précipitation de manganèse dans le réseau. En augmentant la fréquence des rinçages, la quantité de manganèse collée aux parois des tuyaux diminuera, réduisant ainsi la coloration de l’eau.
À la suite des rinçages, il se peut que l’eau soit légèrement brouillée, mais il suffira de la laisser couler quelques minutes avant qu’elle redevienne limpide. Bien que l’eau pourrait être brouillée ou turbide plus fréquemment qu’à l’habitude, celle-ci, au fil du temps, ne devrait pas devenir colorée ou brune, évitant ainsi aux résidents de devoir composer avec des épisodes d’eau colorée durant plusieurs heures.
Dans un souci d’information aux citoyens, des publications en lien avec les opérations de rinçage prévues seront émises sur le site internet de la Municipalité.
2- Procéder, à moyen terme (automne 2018) à des travaux de modification du système de suivi en continu de la concentration en chlore résiduel libre, de manière à optimiser le dosage du chlore et d’ainsi réduire les effets d’oxydation du manganèse par le chlore. Pour pallier la situation avant la réalisation des travaux, la Municipalité de Saint-Joseph-du-Lac a adressé au ministère de l’Environnement et de la Lutte aux changements climatiques une demande de dérogation, visant à diminuer de façon temporaire le dosage du chlore injecté dans le réseau, de façon à limiter son effet sur le manganèse pour la période précédant la réalisation des travaux sur le système de traitement. Il est important de souligner que, malgré la diminution temporaire du taux de chlore injecté dans l’eau, celle-ci sera tout de même désinfectée de façon adéquate et sécuritaire.
3- Analyser et mettre en place des méthodes visant l’élimination du manganèse à la source. À la mi-août 2018, la Municipalité de Saint-Joseph-du-Lac recevra, de la part d‘une firme d’ingénieurs embauchée afin d’étudier la problématique, un rapport émettant des recommandations pour l’élimination permanente du manganèse directement à la source, soit dans l’eau brute. Selon les pistes de solutions apportées, le conseil municipal de Pointe-Calumet prendra les dispositions nécessaires afin d’appuyer la réalisation de travaux à la station d’eau potable, qui pourraient avoir lieu à la fin de l’année 2019.
En conclusion, la Municipalité tient à rassurer ses citoyens qu’elle prend la situation très au sérieux et qu’elle met tout en œuvre afin de participer activement à la limitation des désagréments causés par la précipitation du manganèse par le chlore dans l’eau.
Rappelons que l’eau brute puisée au parc d’Oka est d’une qualité supérieure malgré les épisodes de coloration recensés.
Rappelons également que la Municipalité de Pointe-Calumet est tributaire du service d’aqueduc de la Municipalité de Saint-Joseph-du-Lac et qu’elle appuiera, le cas échéant, les interventions mises de l’avant par les intervenants de cette Municipalité.
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20 ans après son décès : POINTE-CALUMET SE SOUVIENT D’ANDRÉ SOUCY AVEC GRANDE FIERTÉ
Pointe-Calumet, le 8 mars 2017 - À l’occasion du 20e anniversaire de son décès survenu le 9 mars 1997, la Municipalité de Pointe-Calumet tient à rendre un vibrant hommage à M. André Soucy qui a siégé au conseil municipal durant 21 ans, dont 10 à titre de maire.
Un parcours inspirant
Le parcours de cet homme qui a marqué à jamais cette communauté qu’il a tant aimée est particulièrement inspirant. En 1961, à l’âge de 16 ans, le jeune André Soucy quitte la ferme familiale de Saint-Alexandre-de-Kamouraska, en Gaspésie, pour tenter sa chance à Montréal. On ne s’étonnera pas, débrouillard et déterminé comme il l’était, qu’il a fait l’itinéraire en auto-stop ! Dans la région de Montréal, il est tantôt représentant pour une entreprise d’aspirateurs, tantôt maçon, mais surtout employé par Midas, la bannière reconnue pour offrir des services d’entretien automobile partout dans le monde. Quinze ans plus tard, en 1976, il a ouvert sa première succursale Midas. À son décès, André Soucy était propriétaire de 10 succursales à Montréal, à Laval et sur la Couronne Nord.
Le saut en politique municipale
Sur le plan politique, il a d’abord été élu à l’âge de 30 ans à titre de conseiller municipal en novembre 1975. Après sa seule défaite à vie en 1977, il est successivement réélu en 1978, en 1980 et en 1983. Lorsque le maire Marcel Ringuette quitte la vie politique en 1987, M. Soucy se porte candidat à la mairie à la tête d’une équipe. On remarque alors ses grandes qualités de rassembleur, car il a réussi à rallier les conseillers de l’opposition qui formaient alors la majorité. André Soucy a été réélu facilement en 1991 et en 1995.
« Je n’ai pas eu le bonheur de siéger à ses côtés, mais je sais qu’il gérait la Municipalité comme ses entreprises. Il essayait constamment d’obtenir le meilleur rapport qualité-prix pour une population ayant une modeste marge budgétaire.», se souvient le maire actuel, M. Denis Gravel.
Bilan des réalisations
Au chapitre de ses réalisations, soulignons le Centre sportif et culturel Albert-Cousineau, les parcs Édouard-Champagne et Albert-Cousineau, l’implantation de l’école primaire Les Perséïdes, la construction de l’hôtel de ville, l’ouverture de la bibliothèque municipale, la Maison des jeunes et bien d’autres projets.
De fait, tant les organismes que leurs bénévoles peuvent encore témoigner de la générosité d’André Soucy, tant à titre de citoyen que de maire. On l’a vu embrasser plusieurs causes, dont celles des aînés et des jeunes, sans oublier les familles de La Petite Maison de Pointe-Calumet.
« Son souvenir et sa présence sont encore très tangibles à Pointe-Calumet. Il a marqué nos vies et nous lui en sommes très reconnaissants. Le conseil municipal salue sa conjointe France, de même que ses enfants André junior, Jimmy et Robert. Je sais qu’il était un maire et un individu hors du commun en raison de sa simplicité et de sa bienveillance, mais il était aussi un père présent et inspirant pour sa famille. Cher André, 20 ans plus tard, Pointe-Calumet se souvient de toi avec grande fierté ! », a conclu M. Gravel.
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